dissabte, 17 de maig del 2008
cauçaduras
Un grand blog sus lei maquinas de fotografiar
Es lo liame per seguir leis aventuras catalanas e fotograficas dau Jordi (aquèu nom me parla....)
Siéu pivelat per sa colleccion de maquinas. Mai quau es Jordi ?... Ai entendut parlat d'èu... Mai sabe pas onte... Era pas "Chez Z..." l'ostau dei partidas carradas dins la vila de N... Non èra pas èu amé la laissa e lei cadenas... Au fast food?... Pendent un repais blingbling amé Carlà?.... Man dieu... Eiseimer me gaita.... A la bibliotèca?... A la piscina alara... Pendent una mostra sus Doisneau... Attention lo pichot Doiseau va sortir... Non... Non... Lei maquinas me parlan pasmens... Era pas dins un filme amé Montand vo Buster Keaton... Mon paure cervèu...
Una non derogacion especiala per lo joc dau DEKEDIS
Una derogacion especiala per lo joc dau DEKEDIS
Normalament a passat la data, mai coma sa frasa es geniala: aponde ço que ditz Moustaki segond Evalina. Non, non, i a pas de piston per lo sonoton.
Joc dau DEKEDIS MOUSTAKI: Es quichat!
dijous, 15 de maig del 2008
réac
Le secrétaire d
google es en occitan!
Les pratiques artistiques hors de l'école
Les pratiques artistiques hors de lécole ?
Une circulaire interministérielle sur léducation artistique et culturelle a été publiée au BO du 8 mai 2008 sans avoir fait l'objet d'aucune consultation préalable.
On ne peut que souscrire à la volonté affirmée de développer l'éducation artistique et culturelle au sein des établissements scolaires, mais le texte annonce en fait une série de mesures dangereuses pour lavenir des disciplines artistiques dans les collèges et les lycées.
Certaines visent en effet à sortir de lobligation scolaire les pratiques artistiques et à les transférer progressivement à laccompagnement éducatif, voire à la sphère privée (chèque emploi-service). Le texte prévoit même que dans le cadre de la nouvelle épreuve dhistoire des arts au diplôme national du brevet, les élèves puissent également « valoriser une pratique artistique personnelle, développée dans ou en dehors de lécole. »
Laccès aux pratiques artistiques et culturelles est un enjeu majeur pour le système éducatif qui a développé depuis des années des dispositifs variés dans les enseignements et en prolongement de ceux-ci.
Le SNES rappelle son opposition à la dénaturation des enseignements artistiques que représente la mise en place de 50 % dhistoire des arts dans les programmes déducation musicale et darts plastiques et de 25 % dans ceux dhistoire.
Il invite les collègues à continuer à signer la pétition, mise en ligne sur son site, qui a recueilli à ce jour 5000 signatures.
Le SNES ne peut accepter que des pratiques artistiques travaillées en dehors de lécole puissent être évaluées au brevet. Cela va à lencontre de la démocratisation des pratiques artistiques et crée un précédent.
Il appelle les collègues à réagir vivement à ces dispositions.
Il appelle les collègues à être massivement en grève le 15 mai, à être nombreux dans les manifestations, et dans la manifestation nationale du 18 mai
dilluns, 12 de maig del 2008
Parler la langue d'oc, c'est parler une langue de civilisation littéraire
1 - Les littéraires français estiment que la racine du mot se trouve dans le verbe trobar qui, en langue d'oc signifie : « composer », « inventer », ou « deviser » (voir les dictionnaires Académie française, Larousse, Robert). On retrouve sans doute ce sens aujourd'hui dans le nom de la musique latino-américaine romantique trova
Les linguistes ont une explication assez voisine, qui fait référence au substantif occitan trobador désignant celui qui trouve après une recherche. Le verbe occitan correspondant trobar vient du latin commun "tropare", forme verbale de tropus qui signifie "rhétorique", "figure de langage". Le mot latin vient lui-même du grec τρόπος, qui signifie "manière", "tournure" (voir le Petit Larousse illustré).
Les défenseurs de l'origine médiolatine de la poésie de cour (Reto Bezzola, Peter Dronke) et les musicologues (J. Chailley) poussent l'idée que le verbe français "trouver" signifie littéralement « inventer une trope ». La "trope" est un discours où les mots sont utilisés dans un sens différent de leur acception commune, comme dans la création de métaphores ou de métonymies.
2 - D'autres linguistes estiment que l'origine du mot "troubadour" vient de l'arabe tarrab qui signifie "chanter" (voir Maria Rosa Menocal : The culture of translation). Quelques adeptes de cette seconde théorie émettent l'hypothèse complémentaire que les deux étymologies pourraient être correctes. Les troubadours auraient pu en effet utiliser sciemment la proximité phonétique entre les deux concepts : l'occitan trobar et la racine arabe TRB, lorsque le thème de l'amour fut exporté du monde islamique sud-ibérique Al-Andalus vers le reste de l'Europe du sud-ouest.
Source: Wikipédia.
Il serait dangereux de ne plus transmettre cette héritage linguistique, littéraire et culturel en France à nos enfants. Savoir d'où l'on vient c'est s'ouvrir aux racines des autres... L'excellente revue EUROPE nous consacre un numéro (voir ci-dessous). Nous ne sommes pas des patoisants: nous sommes des humanistes. IL FAUT DONC SE BATTRE POUR PRESERVER ET SAUVER NOS LANGUES, PATRIMOINE DE L'HUMANITE. POUR L'INTELLIGENCE DES PEUPLES ET DES CULTURES PLURIELLES. POUR L'INTELLIGENCE DU MONDE. ET FAIRE DE NOS ENFANTS D'HONNETES HOMMES DU 21ème SIECLE ET DES SIECLES A VENIR.
Les Troubadours dans la Revue EUROPE
LES TROUBADOURS
Gérard GOUIRAN : « Chanter ne rapporte rien d’autre ».
Gérard GOUIRAN : Les troubadours, une anthologie.
Magdalena LEÓN GÓMEZ : Les chansonniers provençaux.
Margaret SWITTEN : La musique des troubadours.
Dominique BILLY : La versification des troubadours : un art du langage.
Pierre BEC : La canson.
Stefano ASPERTI : Le sirventès.
Linda PATERSON : Les tensons et partimens.
Edoardo VALLET : Les troubadours et l’Italie.
Miriam CABRÉ : Mécènes et troubadours dans la Couronne d’Aragon.
Elvira FIDALGO : Troubadours et trobadores : les premiers contacts.
Angelica RIEGER : La cour de Champagne, centre d’un réseau interculturel entre troubadours et trouvères.
MAX ROUQUETTE
Philippe GARDY : La voie des songes.
Frédéric Jacques TEMPLE : Max maximus.
Max ROUQUETTE : Brefs moments de bonheur.
Claire TORREILLES : Les roseaux de Midas.
Magali FRAISSE : La séduction des commencements.
Jean-Yves CASANOVA : L’absence et la trace.
Marie Jeanne VERNY : Échos entre prose et poésie.
Jean-Claude FORÊT : Paradoxe sur le dramaturge.
Rémy GASIGLIA : La couverture rouge, ou Médée selon Max Rouquette.
Lionel NAVARRO : Le vieil homme et la création.
Philippe GARDY : Repères chronologiques et bibliographiques.