dissabte, 17 de maig del 2008

cauçaduras


Per aguer la fonccion de mon trabalh, a l'agéncia de viatge, me falié lo vestit. Se que non lei practicas te respectan pas. Te fan baissar tei prètz e lo patron es pas content. Per partir dins leis isclas, pagarian lo prètz per un anar-venir a Sant Laurent d'Aigosas. Alara coma ère de longa vestit coma un pelhos (ère anti-marcas mai jovent e aviéu lo lok bobo: pèu gras, senestra caviard)... coma ma maire me disié: "fas caraco amé ton pèu long " (m'anava coma un faudau a una vaca, vos vau dire) me siéu crompat aquelei cauçaduras. Per ieu, fasié serios. Fasié fonccion. E tot ara me vaqui a cercar un sonoton per ilustrar lo messatge fabulos (trobador) d'Evalina. E a la rubrica SONOTON DE QUE TE VESE PAS???? MEI CAUCADURAS PER FAIRE IMPRESSION! EN PROMOCION! E dequé i a de marcat sus la promocion? Amé lo parèu de cauçaduras ... un sonoton ofèrt! Aquo's segur lei practicas van èstre impressionadas amé mon lok Jan-Luc Delacarriera....

Un grand blog sus lei maquinas de fotografiar



Es lo liame per seguir leis aventuras catalanas e fotograficas dau Jordi (aquèu nom me parla....)
Siéu pivelat per sa colleccion de maquinas. Mai quau es Jordi ?... Ai entendut parlat d'èu... Mai sabe pas onte... Era pas "Chez Z..." l'ostau dei partidas carradas dins la vila de N... Non èra pas èu amé la laissa e lei cadenas... Au fast food?... Pendent un repais blingbling amé Carlà?.... Man dieu... Eiseimer me gaita.... A la bibliotèca?... A la piscina alara... Pendent una mostra sus Doisneau... Attention lo pichot Doiseau va sortir... Non... Non... Lei maquinas me parlan pasmens... Era pas dins un filme amé Montand vo Buster Keaton... Mon paure cervèu...

Una non derogacion especiala per lo joc dau DEKEDIS

Non, non. La jurada a pas vougut la derogacion. Enfin, es lo logiciau qu'accepta pas: AVEM PASSAT LA DATA! Lo cop que ven, Evalina, regardaràs ben la data que te fau tornar la copia.

Una derogacion especiala per lo joc dau DEKEDIS


Normalament a passat la data, mai coma sa frasa es geniala: aponde ço que ditz Moustaki segond Evalina. Non, non, i a pas de piston per lo sonoton.

Joc dau DEKEDIS MOUSTAKI: Es quichat!

Partida quichada entre Joan dau Peiroton e l'Anonim.... Promier cop que Mela se laissa passar davans... Come on and vote!

dijous, 15 de maig del 2008

réac

Le secrétaire d'Etat à la fonction publique, André Santini, a estimé, sur RTL, que la grève était "un mode de réclamation daté". Revenant sur sa proposition, faite la veille, de mettre un brassard plutôt que de faire grève, il a expliqué avoir mis cette solution en place dans sa commune d'Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). "Je leur ai dit que plutôt que de provoquer la pagaille dans les crèches et les écoles, dans les services, vous devriez dire, avec un bandeau ou un brassard, 'fonctionnaires en grève'. Et ça a été très apprécié", a-t-il affirmé.

google es en occitan!

google respecta lei lengas:

Les pratiques artistiques hors de l'école

Les pratiques artistiques hors de l’école ?

Une circulaire interministérielle sur l’éducation artistique et culturelle a été publiée au BO du 8 mai 2008 sans avoir fait l’'objet d’'aucune consultation préalable.

On ne peut que souscrire à la volonté affirmée de développer l’'éducation artistique et culturelle au sein des établissements scolaires, mais le texte annonce en fait une série de mesures dangereuses pour l’avenir des disciplines artistiques dans les collèges et les lycées.

Certaines visent en effet à sortir de l’obligation scolaire les pratiques artistiques et à les transférer progressivement à l’accompagnement éducatif, voire à la sphère privée (chèque emploi-service). Le texte prévoit même que dans le cadre de la nouvelle épreuve d’histoire des arts au diplôme national du brevet, les élèves puissent également « valoriser une pratique artistique personnelle, développée dans ou en dehors de l’école. »

L’accès aux pratiques artistiques et culturelles est un enjeu majeur pour le système éducatif qui a développé depuis des années des dispositifs variés dans les enseignements et en prolongement de ceux-ci.

Le SNES rappelle son opposition à la dénaturation des enseignements artistiques que représente la mise en place de 50 % d’histoire des arts dans les programmes d’éducation musicale et d’arts plastiques et de 25 % dans ceux d’histoire.

Il invite les collègues à continuer à signer la pétition, mise en ligne sur son site, qui a recueilli à ce jour 5000 signatures.

Le SNES ne peut accepter que des pratiques artistiques travaillées en dehors de l’école puissent être évaluées au brevet. Cela va à l’encontre de la démocratisation des pratiques artistiques et crée un précédent.

Il appelle les collègues à réagir vivement à ces dispositions.

Il appelle les collègues à être massivement en grève le 15 mai, à être nombreux dans les manifestations, et dans la manifestation nationale du 18 mai

dilluns, 12 de maig del 2008

Parler la langue d'oc, c'est parler une langue de civilisation littéraire

Qu'est-ce qu'un Troubadour? L'étymologie du mot "troubadour" est controversée. Deux familles d'hypothèses émergent :
1 - Les littéraires français estiment que la racine du mot se trouve dans le verbe trobar qui, en langue d'oc signifie : « composer », « inventer », ou « deviser » (voir les dictionnaires Académie française, Larousse, Robert). On retrouve sans doute ce sens aujourd'hui dans le nom de la musique latino-américaine romantique trova
Les linguistes ont une explication assez voisine, qui fait référence au substantif occitan trobador désignant celui qui trouve après une recherche. Le verbe occitan correspondant trobar vient du latin commun "tropare", forme verbale de tropus qui signifie "rhétorique", "figure de langage". Le mot latin vient lui-même du grec τρόπος, qui signifie "manière", "tournure" (voir le Petit Larousse illustré).
Les défenseurs de l'origine médiolatine de la poésie de cour (Reto Bezzola, Peter Dronke) et les musicologues (J. Chailley) poussent l'idée que le verbe français "trouver" signifie littéralement « inventer une trope ». La "trope" est un discours où les mots sont utilisés dans un sens différent de leur acception commune, comme dans la création de métaphores ou de métonymies.
2 - D'autres linguistes estiment que l'origine du mot "troubadour" vient de l'arabe tarrab qui signifie "chanter" (voir Maria Rosa Menocal : The culture of translation). Quelques adeptes de cette seconde théorie émettent l'hypothèse complémentaire que les deux étymologies pourraient être correctes. Les troubadours auraient pu en effet utiliser sciemment la proximité phonétique entre les deux concepts : l'occitan trobar et la racine arabe TRB, lorsque le thème de l'amour fut exporté du monde islamique sud-ibérique Al-Andalus vers le reste de l'Europe du sud-ouest.

Source: Wikipédia.

Il serait dangereux de ne plus transmettre cette héritage linguistique, littéraire et culturel en France à nos enfants. Savoir d'où l'on vient c'est s'ouvrir aux racines des autres... L'excellente revue EUROPE nous consacre un numéro (voir ci-dessous). Nous ne sommes pas des patoisants: nous sommes des humanistes. IL FAUT DONC SE BATTRE POUR PRESERVER ET SAUVER NOS LANGUES, PATRIMOINE DE L'HUMANITE. POUR L'INTELLIGENCE DES PEUPLES ET DES CULTURES PLURIELLES. POUR L'INTELLIGENCE DU MONDE. ET FAIRE DE NOS ENFANTS D'HONNETES HOMMES DU 21ème SIECLE ET DES SIECLES A VENIR.

Les Troubadours dans la Revue EUROPE

Dans le numéro 950-951 de la revue Europe :
LES TROUBADOURS

Gérard GOUIRAN : « Chanter ne rapporte rien d’autre ».
Gérard GOUIRAN : Les troubadours, une anthologie.
Magdalena LEÓN GÓMEZ : Les chansonniers provençaux.
Margaret SWITTEN : La musique des troubadours.
Dominique BILLY : La versification des troubadours : un art du langage.
Pierre BEC : La canson.
Stefano ASPERTI : Le sirventès.
Linda PATERSON : Les tensons et partimens.
Edoardo VALLET : Les troubadours et l’Italie.
Miriam CABRÉ : Mécènes et troubadours dans la Couronne d’Aragon.
Elvira FIDALGO : Troubadours et trobadores : les premiers contacts.
Angelica RIEGER : La cour de Champagne, centre d’un réseau interculturel entre troubadours et trouvères.

MAX ROUQUETTE

Philippe GARDY : La voie des songes.
Frédéric Jacques TEMPLE : Max maximus.
Max ROUQUETTE : Brefs moments de bonheur.
Claire TORREILLES : Les roseaux de Midas.
Magali FRAISSE : La séduction des commencements.
Jean-Yves CASANOVA : L’absence et la trace.
Marie Jeanne VERNY : Échos entre prose et poésie.
Jean-Claude FORÊT : Paradoxe sur le dramaturge.
Rémy GASIGLIA : La couverture rouge, ou Médée selon Max Rouquette.
Lionel NAVARRO : Le vieil homme et la création.
Philippe GARDY : Repères chronologiques et bibliographiques.

Jouez au DEKEDIS!

N'oubliez pas de jouer au DEKEDIS! Invité: Moustaki. Une nouvelle phrase vient d'arriver. La compette est dure.